A lors qu'elle trottinait,  C e matin de juillet, joliment apprêtée,  C haussée de ses plus beaux souliers I ndéniablement bien préparée,  D estinée à une magnifique journée,  E lancée vers sa destinée,  N e voilà pas qu'elle glissa.... Et crac... Plus rien de va... T ournant la tête, elle ne vit pas, la flaque d'huile... Et plus voilà... Plus rien ne va....  |